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COVID-19: l'impact potentiel des vaccins sur la santé des personnes vaccinées

La pandémie de Covid-19 a pris le monde entier par surprise, affectant des millions de personnes à travers le monde et entraînant des milliers de décès. Dans le but de mettre fin à la propagation du virus, les scientifiques ont travaillé d'arrache-pied pour développer un vaccin efficace contre le Covid-19. Depuis lors, des millions de personnes ont été vaccinées dans le monde entier.

Cependant, avec l'arrivée rapide des vaccins contre le Covid-19, de nombreuses questions ont été soulevées quant à leur sécurité et leur efficacité. L'une des préoccupations les plus importantes est l'impact potentiel des vaccins sur la santé des personnes vaccinées.

Les vaccins contre le Covid-19 sont basés sur une technologie nouvelle et innovante appelée ARNm. Cette technologie permet de stimuler le système immunitaire à produire des anticorps contre le virus. Les vaccins sont administrés en deux doses et ont montré une efficacité élevée dans les essais cliniques.

Cependant, certains craignent que les vaccins puissent avoir des effets secondaires graves sur la santé des personnes vaccinées. Les effets secondaires courants comprennent de la fièvre, des douleurs musculaires et des maux de tête. Ces effets secondaires sont généralement bénins et disparaissent rapidement.

Les effets secondaires les plus graves, tels que la thrombose, ont été très rares. Ces cas ont été très médiatisés, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la sécurité des vaccins.

Cependant, il convient de noter que le risque de thrombose est bien inférieur au risque de développer une thrombose en contractant réellement le Covid-19. En effet, le risque de thrombose chez les personnes atteintes de Covid-19 est environ 100 fois plus élevé que chez les personnes vaccinées.

De plus, il est important de souligner que les vaccins contre le Covid-19 ont été rigoureusement testés dans des essais cliniques de grande envergure avant d'être approuvés pour une utilisation publique. Les essais ont montré que les vaccins sont sûrs et efficaces pour prévenir le Covid-19.

Enfin, il est important de noter que les avantages des vaccins contre le Covid-19 dépassent largement les risques potentiels. Les vaccins sont la meilleure façon de protéger les personnes contre le Covid-19 et de mettre fin à la pandémie.

En conclusion, les vaccins contre le Covid-19 sont sûrs et efficaces pour prévenir le virus. Bien qu'il y ait eu des inquiétudes quant à la sécurité des vaccins, les risques potentiels sont bien inférieurs aux risques de développer une maladie grave due au Covid-19. Les avantages des vaccins dépassent largement les risques potentiels, et les vaccins sont la meilleure façon de mettre fin à la pandémie et de protéger la santé de la population mondiale.

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Ramson NOËL Ramson NOËL

Choléra : une maladie périodique en Haïti également, depuis après le séisme du 12 janvier 2010, encore dans les alentours.

Le pont de leadership…

Une maladie périodique pour les Haïtiens vivants dans la masse particulièrement, Pour Haïti pendant ses périodes de bassesses. Son nom est “Vibrio choléra”, elle est très connue en Haïti, elle a fait son apparition le 21 octobre 2010, à l’Artibonite, Valley, peu de temps après le séisme de 2010, l’épidémie de choléra est importée par les casques bleus (népalais). Cette maladie a été identifiée par le Laboratoire National de Santé Publique (LNSP/MSPP) sur une population naïve de manière immunologique et hautement vulnérable. Le 4 mai 2011, un rapport d’un groupe d’experts indépendants chargé d’enquêter sur l’origine de l’épidémie de choléra en Haïti, il a conclu que cette épidémie a été causée par la confluence de plusieurs circonstances, et n’était pas la faute, ou n’était pas due à l’action délibérée d’un groupe ou d’un individu. 

La première hospitalisation liée au choléra à Mirbalais, dans la région en amont du fleuve Artibonite, a eu lieu dans la soirée du 17 octobre 2010, et le premier cas de choléra en Haïti, en près d’un siècle a été confirmé le 22 octobre 2010. Un calendrier suggère que l’épidémie s’est propagée le long du Fleuve de l’Artibonite. S’agissant des sources potentielles de contamination qui pourraient avoir déclenché cette épidémie, les experts notent que les conditions sanitaires au camp de la Mission des Nations Unies pour la Stabilisation en Haïti (MINUSTAH) à Mirbalais n’étaient ‘’pas suffisantes ‘’ pour éviter une contamination fécale de la rivière Meye, un affluent du Fleuve de l’Artibonite. 

En outre, les conclusions de Chercheurs indépendants sur la bactérie responsable de l’épidémie indiquent que les sources de l’épidémie en Haïti ‘’sont génétiquement identiques, indiquant une source unique pour l’épidémie en Haïti’’ et que la bactérie est “très similaire, mais pas identique aux souches du choléra en l’Asie du Sud, confirmant que la bactérie de choléra en Haïti n’émanait pas d’Haïti”. La contamination de la rivière Meye a entraîné une épidémie explosive de choléra dans le delta du fleuve Artibonite et ensuite à travers Haïti. “Cette diffusion était du a plusieurs facteurs, dont l’usage répandu de l’eau de la rivière pour faire la lessive, se baigner, boire et s’amuser ; l’exposition régulière des travailleurs agricoles a l’eau d’irrigation du fleuve Artibonite ; le dégré de salinité du delta de l’Artibonite qui fournit des conditions optimales pour une prolifération rapide de vibrio choléra ; l’absence d’immunité de la population haïtienne au choléra ; les mauvaises conditions en matière d’eau et d’assainissement en Haïti… ‘’Explique le rapport.”

De nos jours, le Choléra est l’état endémique au niveau des 10 départements en Haïti.

La résurgence du choléra en Haïti, après plus de trois (3) ans, pendant que le pays était sur le point d'être déclaré exempt de cette maladie. Le 09 octobre dernier, les autorités Nationales ont confirmé environ 32 cas et 18 décès, et plus de 260 cas suspects dans la zone entourant la ville de Port-au-Prince. Une réapparition dans un contexte de troubles sociaux et politiques graves. "Les cas sont probablement beaucoup plus nombreux que les chiffres rapportés, car l'escalade de la violence de rue et des activités criminelles limitent l'accès aux zones touchés" a déclaré le Dr Carissa F. ÉTIENNE. 

Moyen de prévention : maintenir les matières fécales à distance de l’eau et des denrées alimentaires et éliminer les bactéries cholériques qui ont contaminé les aliments ou l’eau avant leur consommation ; le lavage des mains avec de l’eau potable et du savon, une façon de prévenir la propagation du choléra, le savon contribue à éliminer les germes et les saletés avant de manger, après être allé (e) à la toilette, avant de préparer les nourritures, après avoir nettoyé les selles, d’un enfant, avant d’allaiter un enfant ; stockage et utilisation de l’eau potable ; prenez soin de vous-mêmes. "Se met ko ki veye ko".

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Ramson NOËl

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